Merci l'étude ^^ !
Je fais parti de celles qui auraient préféré ne pas avoir à avorter.
Qui avaient une bonne contraception, mais qui n'a tout de même pas suffit.
Qui n'a pas hésité une seconde. (trop tôt dans ma vie, relation toute fraîche, vie pro encore trop précaire)
Qui n'a pas fait de dépression.
Qui a eu un enfant désiré quelques années plus tard, (enceinte qq jours après l'arrêt de la contraception ! One punch parents !)
Qui n'a pas de regrets.
L'IVG doit rester un choix et ne pas être un parcours du combattant.
https://www.madmoizelle.com/consequences-ivg-avortement-etude-1058873
Je trouve que le droit à l'IVG est sacré. Maintenant dans l'exemple fournis, on retrouve TOUS les cas de pressions sociale pour avorter en une seule fois :
- trop jeune
- relation avec le conjoint
- vie professionnelle
il manque juste la pression des parents.
Combien de jeune femme indécises sont poussée à l'IVG car désemparés par la situation.
sur ce nombre, combien aurait choisi une autre issue avec une aide adéquate ?
Je pense que c'est une question,n bien trot oubliée.
les questions évoquées par les anti ivg ?
non, on accuse juste ceux qui évoquent ces question d'être anti ivg.
mais ce sont des vraies questions qui ne sont jamais adressées. Et la consultation seule, je suis pas persuadé (comme pou les violences conjugales) que cela change beaucoup. une fois que l'idée est imprégnée dans la tête des gens ils ont l'impression qu'ils pensent cela en dehors de toutes pressions extérieures.
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@ClaireLemoine
Mais il y a un super test à faire :
donner 2500 euros par mois à ces femmes pendant 3 ans si elles désirent les garder et regardez combien vont continuer à vouloir avorter...
ce serait une expérience assez intéressante pour voir si la "libération" passe au dessus de la finance.